Sylvain Darrifourcq
Sylvain Darrifourcq
IN LOVE WITH
Sylvain Darrifourcq : drums, zither, composition
Théo Ceccaldi : violin
Valentin Ceccaldi : cello
EN
Strongly influenced by William Faulkner’s and Samuel Beckett’s novels, where various timeframes and subjectivities unfold in a disorderly manner, almost in a barely comprehensive language ; I composed this music focusing on a main idea : avoiding the finishing point.
FR
Sous l’influence des romans de William Faulkner et Samuel Beckett, dans lesquels les différentes temporalités et subjectivités sont accolés de façon anarchique, jusqu’à la limite de l’intelligible, j’ai conçu cette musique comme une suite d’enchainements nerveux, jubilatoire et virtuose. Soutenue par une mise en tension permanente, la musique tend vers une seule idée : l’évitement du point d’arrivée.
MORE INFO
PRESS
Citizen Jazz :
«Les musiciens qui ont un vrai univers et savent en jouir de manière inventive ne sont pas légion. Ceux capables d’y accueillir d’autres artistes sans jamais se répéter ou se travestir constituent un raffinement supplémentaire. (...) Le batteur Sylvain Darrifourcq coche toutes ces cases. »
The Wire :
«Darrifourcq has a creative rather than a loose approach. like the figures in French improvised music he’s worked with : Michel Portal, Louis Sclavis, Marc Ducret. I suspect there’s a trade-off between tendencies - here, the results are amazing.»
Libération :
«Le trio opère avec souplesse tout au milieu des figures imposées de Darrifourcq. La formation se démène comme une fratrie de funambules. La course poursuite - spectaculaire ô combien ! - confine à l’effarement perpétuel.»
Télérama :
«Si (...) vous envisagez le geste artistique comme une proposition devant vous surprendre et vous bousculer pour mieux vous rendre comme neuf à vous même, courez écouter Sylvain Darrifourcq, Valentin Ceccaldi et Théo Ceccaldi.»
Jazzmagazine :
«Sylvain Darrifourcq, Théo Ceccaldi et Valentin Ceccaldi laissèrent le public sans voix. Il faut dire que leur performance avait de quoi couper le souffle. Exemplaire, que dis-je, éblouissante de précision, à la fois rigoureuse et zinzin dans sa mise en place, ces zappeurs sans peur qui doivent tout au jazz, mais qui s’en affranchissent avec jubilation nous firent faire un sacré tour de grand huit.»