Sylvain Darrifourcq
Sylvain Darrifourcq
Shapin’ with MILESDAVISQUINTET!
Sylvain Darrifourcq : percussions
Xavier Camarasa : prepared piano
Valentin Ceccaldi : cello
EN
« MILESDAVISQUINTET! (…) questions our listening habits, and the very manner of conceiving musical practice. (…) For instance, patterns of repetition are placed at the core of the improvising work, with somehow a very different approach than Steve Reich’s ou Philip Glass’. Indeed, in this musical trend the listener is expected to focus on the tiny leaps between the various musical layers hardly distinguishable, rolled out on a very long time, whereas within MILESDAVISQUINTET!, we note that the working process is similar to the use of musical computing tools and the democratisation of their means, which is here displayed through the production of cold and layered loops and the sudden flow of a “track” to another by a single click of a mouse. » LUDOVIC FLORIN
FR
« MILESDAVISQUINTET! (…) interroge nos habitudes d’écoute, et dans un même mouvement la façon même de concevoir la pratique musicale. (…) La question de la répétition se trouve par exemple placée au centre de l’activité improvisatrice. Mais dans une approche bien différente du répétitisme de Steve Reich ou Philip Glass. Au lieu, comme dans ce dernier courant d’attendre de l’auditeur qu’il porte son attention sur les infimes décalages se produisant entre différentes strates musicales quasi indifférenciées, déployées dans un temps extrêmement long, le processus ici à l’oeuvre a davantage à voir avec l’emploi des outils de l’informatique musicale et de la démocratisation de leurs moyens, à savoir la création de froides boucles superposées et le brusque passage d’une «piste» à une autre par le pouvoir d’un simple clic de souris. » LUDOVIC FLORIN
MORE INFO
PRESS
Freejazzblog :
«Maybe their ambition is high, to change the shape of jazz like Davis did sixty years ago, and to be frank, in a way they do, reducing the music to sheer sonic dynamics of timbral changes, intensity, density, volume.»
The Drone :
« (...) Le 1er juillet en se rendant au Triton (...), on découvrait la musique du trio et on se disait qu’on n’avait pas souvent vu mieux en live.»
Citizen Jazz :
«Sans doute dans une poignée d’années, on reconnaitra l’importance de ce disque, en dépassant la pochade de son titre qui sert surtout à détourner les oreilles et les yeux des ronchons.»
Jazzmagazine :
«Affranchie de tout redondance, cette musique n’aurait pas déplue à... Miles Davis. Le jazz (allez savoir !) créatif a de beaux jours devant lui.»